L’une des problématiques à laquelle répond Panoramax est le fait qu’aucun acteur n’est capable de supporter à lui seul l’hébergement de toutes les photos d’un territoire ou du monde, aussi bien techniquement que financièrement.
Le parti pris de Panoramax est donc de décentraliser le projet à travers de multiples instances, qui sont des serveurs autonomes où l’on peut déposer des photos, les visualiser et y accéder à travers une API.
Cela fait un effort mesuré mais réparti. Le projet peut continuer à exister même si une instance ferme. C’est le bénéfice de la décentralisation.
Pour permettre de consulter des photos d’une façon globale, ces instances sont fédérées sur le métacatalogue (voir ci-après).
Actuellement, il n’y a que 2 instances ouvertes aux versements publics, mais l’objectif est qu’il s’en crée selon les territoires, organisations ou thématiques.
Chaque instance peut également choisir une licence adaptée aux photos déposées et partagées.